Personne n’ignore que l’organisateur de la MERCURY est aussi celui qui est en charge en MARTINIQUE de l’avitaillement des marins pécheurs, professionnels en matériel de pêche, depuis la liquidation de la COOPEMAR.
Au départ à l’initiative du Béké Emanuel DERENAL, qui voulait, vendre, plus de moteur, La MERCURY était une virée très privée pour richissimes détenteurs de yacht équipé des MOTEURS MERCURY, les MOTEURS YAMAHA équipaient le monde de la pêche.
Aujourd’hui, la MERCURY est une véritable machine événementielle ! Six cent mille euros d’organisation dit-on, susceptibles de générer plus de 5 millions de chiffres d’affaires. Un genre de truc à faire rêver les plus ambitieux organisateurs de manifestations touristiques.
Et alors que l’on entend que c’est le premier événement économique et touristique de Sainte Lucie, que l’État indépendant sortirait le tapis rouge, et qu’il aurait même été envisagé d’abandonner le festival de JAZZ pour la French Beach Riche People Tour, on apprend par le quotidien France Antilles, que les organisateurs martiniquais veulent faire revenir à la MARTINIQUE leur événement.
Nous n’allons pas reprendre la polémique du pourquoi cette manifestation est partie !
Non, mais demandons-nous pourquoi, maintenant elle veut rentrer ?
Ici en Martinique la filière pêche est de plus en plus interrogative. 850 petits patrons de pêche s’interrogent sur les avitaillements utiles à leur profession. Vont-ils à votre avis, accepter longtemps encore de n’avoir pas les conditions pour faire convenablement leur métier et admettre que l’on subventionne ceux qui les étranglent, et qui n’approvisionnent pas les rayons d’une MAXIPECHE qui demeurent désespérément vides ?
Alors que toute une partie de l’écosystème Saint Lucien qui rejette cette MERCURY, considère que cette déflagration de moyens durant deux jours pourrait mettre en péril, les filières événementielles locales. Comment comprendre que l’on puisse trouver plus de 600 Millions de dollars pour la MERCURY et pas un euro pour refaire les stocks dans les ex locaux de la COOPEMAR ?
Et si ce retour devait être le coup de grâce à la profession. Comment croire que ce ne soit pas maintenant le seul secteur de la plaisance l’objectif de ces décideurs ? Espérons encore que les locaux de l’ex-coopemar resteront avant tout au service des professionnels de la pêche artisanale.
Aujourd’hui, la MERCURY est une véritable machine événementielle ! Six cent mille euros d’organisation dit-on, susceptibles de générer plus de 5 millions de chiffres d’affaires. Un genre de truc à faire rêver les plus ambitieux organisateurs de manifestations touristiques.
Et alors que l’on entend que c’est le premier événement économique et touristique de Sainte Lucie, que l’État indépendant sortirait le tapis rouge, et qu’il aurait même été envisagé d’abandonner le festival de JAZZ pour la French Beach Riche People Tour, on apprend par le quotidien France Antilles, que les organisateurs martiniquais veulent faire revenir à la MARTINIQUE leur événement.
Nous n’allons pas reprendre la polémique du pourquoi cette manifestation est partie !
Non, mais demandons-nous pourquoi, maintenant elle veut rentrer ?
Ici en Martinique la filière pêche est de plus en plus interrogative. 850 petits patrons de pêche s’interrogent sur les avitaillements utiles à leur profession. Vont-ils à votre avis, accepter longtemps encore de n’avoir pas les conditions pour faire convenablement leur métier et admettre que l’on subventionne ceux qui les étranglent, et qui n’approvisionnent pas les rayons d’une MAXIPECHE qui demeurent désespérément vides ?
Alors que toute une partie de l’écosystème Saint Lucien qui rejette cette MERCURY, considère que cette déflagration de moyens durant deux jours pourrait mettre en péril, les filières événementielles locales. Comment comprendre que l’on puisse trouver plus de 600 Millions de dollars pour la MERCURY et pas un euro pour refaire les stocks dans les ex locaux de la COOPEMAR ?
Et si ce retour devait être le coup de grâce à la profession. Comment croire que ce ne soit pas maintenant le seul secteur de la plaisance l’objectif de ces décideurs ? Espérons encore que les locaux de l’ex-coopemar resteront avant tout au service des professionnels de la pêche artisanale.