Dans tout dossier où des hommes échangent, on n'est pas à l’abri de multiples trahisons, mais dans un dossier tel que celui-ci, on doit dépasser les intérêts glacés de chacun, pour arriver aux intérêts supérieurs de la Martinique.
La Martinique ne peut se contenter d’un seul média local de télévision, et si une télévision doit émerger autant qu’elle soit la télévision que le peuple a décidé de sauver.
Alors quel était l’objet de la demande préalable du personnel ? Il s’agissait de sauver la chaîne d’une liquidation certaine déjà demandée par l’administrateur judiciaire.
Deuxièmement il s’agissait de faire appel à l’épargne locale, soit sous forme de dons, soit sous forme d’un actionnariat pour permettre de réunir 35 % du capital ,soit une minorité de blocage martiniquaise.
Malgré les 60 milliards d’affaires qui circulent en Martinique(chiffre de tout l'argent qui circule en Martinique) , personne n’avait réussi à réunir les 35% de capital local soit 375 000 AVANT QUE LE PEUPLE NE DECIDE QU'IL DEVAIT EN ETRE AUTREMENT. suite à une initiative de Miguel Limol.
Enfin dernier objectif, il s’agissait de trouver un modèle économique à la chaîne. Mais cela c’est l’affaire de professionnels.
Par conséquent au moment où nous apprenons que des jeux de chaises musicales, des tiraillement internes,et de probables remises en cause de la minorité de blocage martiniquaise, nous attendons de savoir si ceux qui on fait appel aux Martiniquais seront capables, alors qu‘ ils ont réuni le double de ce qu’ils demandaient, d’exiger que l’on respecte la parole martiniquaise.
C’est à ce prix que la MARTINIQUE grandira. Et comme il faut faire grandir la MARTINIQUE, prenons le temps de faire chaque Martiniquais respecter la parole qu’il donne à un autre Martiniquais.
Alors que pour une première fois , nous sommes en train d’inventer un nouveau modèle économique de média, la télévision participative, soyons à la hauteur du défi qui se pose à nous.
Au personnel d’ATV ,il convient de leur dire qu’il faut qu’il exige que la parole MARTINIQUAISE soit respectée. C’est ainsi que demain ils seront respectés à leur tour par les actionnaires majoritaires.
Alors quel était l’objet de la demande préalable du personnel ? Il s’agissait de sauver la chaîne d’une liquidation certaine déjà demandée par l’administrateur judiciaire.
Deuxièmement il s’agissait de faire appel à l’épargne locale, soit sous forme de dons, soit sous forme d’un actionnariat pour permettre de réunir 35 % du capital ,soit une minorité de blocage martiniquaise.
Malgré les 60 milliards d’affaires qui circulent en Martinique(chiffre de tout l'argent qui circule en Martinique) , personne n’avait réussi à réunir les 35% de capital local soit 375 000 AVANT QUE LE PEUPLE NE DECIDE QU'IL DEVAIT EN ETRE AUTREMENT. suite à une initiative de Miguel Limol.
Enfin dernier objectif, il s’agissait de trouver un modèle économique à la chaîne. Mais cela c’est l’affaire de professionnels.
Par conséquent au moment où nous apprenons que des jeux de chaises musicales, des tiraillement internes,et de probables remises en cause de la minorité de blocage martiniquaise, nous attendons de savoir si ceux qui on fait appel aux Martiniquais seront capables, alors qu‘ ils ont réuni le double de ce qu’ils demandaient, d’exiger que l’on respecte la parole martiniquaise.
C’est à ce prix que la MARTINIQUE grandira. Et comme il faut faire grandir la MARTINIQUE, prenons le temps de faire chaque Martiniquais respecter la parole qu’il donne à un autre Martiniquais.
Alors que pour une première fois , nous sommes en train d’inventer un nouveau modèle économique de média, la télévision participative, soyons à la hauteur du défi qui se pose à nous.
Au personnel d’ATV ,il convient de leur dire qu’il faut qu’il exige que la parole MARTINIQUAISE soit respectée. C’est ainsi que demain ils seront respectés à leur tour par les actionnaires majoritaires.