Qu’un accueil chaleureux lui soit réservé!
J’ai fait en sorte que son arrivée coïncide avec la Fête de la famille.
Ainsi, la Collectivité Territoriale de Martinique se dote d’un élément complémentaire, nécessaire pour accompagner la mise en place de son programme, le programme de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Je reviendrai sur ce sujet dans le cours de mon intervention
L’objet premier de notre rencontre est la Fête de la Famille. On peut exprimer ici et ailleurs, que c’est une ambition chimérique. Je répondrai ambition oui, chimérique non.
Parce que nous venons d’évoluer ; pas forcément de façon suffisamment significative peut-être ; au point que certains d’entre nous regrettent un passé révolu. Ce sont les nostalgiques, et je n’appartiens pas à cette catégorie-là.
Nous avons évolué, en effet, parce que quoiqu’on dise ou quoiqu’on fasse, il n’y aura pas de résurrection du Conseil Général d’un côté et du Conseil Régional de l’autre. Sé pri fen.
L’évolution obtenue est irréversible.
Par contre, tous ici nous le savons, et moi le premier, que dans toute famille, et singulièrement en politique, des discordances et des dissonances sont monnaie courante.
Va-t-on consacrer une bonne part de notre temps à de vaines lamentations, ou au contraire, faire la part du feu, pour continuer à avancer coûte que coûte contre vents et marées?
C’est le moment de rappeler solennellement aux uns et aux autres, que si tout contact est permis, toute démarche autorisée, toute initiative admise, aucun engagement en matière de recrutement et de dépenses publiques ne saurait être validé sans l’accord préalable et expresse de l’Exécutif.
Cette règle de droit essentielle et incontournable doit s’appliquer avec rigueur pour éviter tout dérapage vers des postures de surenchère pouvant nous coûter très cher.
C’est en ce sens que je conçois la Fête de la Famille.
Je reviens à vous monsieur le Directeur Général des Services.
Vous êtes Martiniquais , c’est pourquoi je vous ai personnellement choisi, je répète personnellement choisi, parmi tant d’autres prétendants à ce poste tant envié.
Je n’ai fait qu’obéir à ma conscience.
Il n’y aura pas de retour au clanisme.
Il n’y aura pas le moindre égard à toute tendance corruptrice avérée.
Il n’y aura pas de retour à la magouille.
Il n’y aura pas de contrats exorbitants et extravagants.
Votre rôle n’est pas celui d’un messie, ni celui d’un cerbère.
Le rôle ingrat je l’assumerai dans la plénitude de mes fonctions.
Votre rôle est celui d’une Vigie, d’un Sonar pour éviter les écueils de parcours à la barque martiniquaise.
La barque peut tanguer. Je l’admets volontiers.
Mais personne n’a le droit de la dérouter pour l’empêcher d’arriver à bon port, personne.
C’est le moment pour moi de reconnaitre l’implication et le professionnalisme de beaucoup d’entre vous, contrairement à ce qui est dit, pour tenir la barque à flot depuis le 18 Décembre 2015.
Je vous félicite pour l’effort collectif accompli à ce jour pour assurer la continuité du Service public, malgré les difficultés de toutes sortes rencontrées.
Je remercie tout particulièrement les services qui ont contribué à documenter le travail des élus pour la préparation des comptes administratifs, des orientations budgétaires et du budget.
Un salut particulier à toutes les équipes et singulièrement celles de la communication qui ont organisé notre rencontre d’aujourd’hui.
Permettez-moi également de remercier les membres de mon Cabinet pour le travail accompli et qu’il reste encore à réaliser.
Le Cap est fixé. Je veillerai à ce qu’il soit atteint.
C’est à cette tâche que je vous convie chacune et chacun de vous pour escorter le convoi de la réussite en bonne intelligence, en bonne compréhension.
Bonne fête à toutes et à tous
Mèsi an pil. Mèsi an chay ba péyi nou
Alfred Marie-Jeanne
Président de la Collectivité Territoriale de Martinique
Ainsi, la Collectivité Territoriale de Martinique se dote d’un élément complémentaire, nécessaire pour accompagner la mise en place de son programme, le programme de la Collectivité Territoriale de Martinique.
Je reviendrai sur ce sujet dans le cours de mon intervention
L’objet premier de notre rencontre est la Fête de la Famille. On peut exprimer ici et ailleurs, que c’est une ambition chimérique. Je répondrai ambition oui, chimérique non.
Parce que nous venons d’évoluer ; pas forcément de façon suffisamment significative peut-être ; au point que certains d’entre nous regrettent un passé révolu. Ce sont les nostalgiques, et je n’appartiens pas à cette catégorie-là.
Nous avons évolué, en effet, parce que quoiqu’on dise ou quoiqu’on fasse, il n’y aura pas de résurrection du Conseil Général d’un côté et du Conseil Régional de l’autre. Sé pri fen.
L’évolution obtenue est irréversible.
Par contre, tous ici nous le savons, et moi le premier, que dans toute famille, et singulièrement en politique, des discordances et des dissonances sont monnaie courante.
Va-t-on consacrer une bonne part de notre temps à de vaines lamentations, ou au contraire, faire la part du feu, pour continuer à avancer coûte que coûte contre vents et marées?
C’est le moment de rappeler solennellement aux uns et aux autres, que si tout contact est permis, toute démarche autorisée, toute initiative admise, aucun engagement en matière de recrutement et de dépenses publiques ne saurait être validé sans l’accord préalable et expresse de l’Exécutif.
Cette règle de droit essentielle et incontournable doit s’appliquer avec rigueur pour éviter tout dérapage vers des postures de surenchère pouvant nous coûter très cher.
C’est en ce sens que je conçois la Fête de la Famille.
Je reviens à vous monsieur le Directeur Général des Services.
Vous êtes Martiniquais , c’est pourquoi je vous ai personnellement choisi, je répète personnellement choisi, parmi tant d’autres prétendants à ce poste tant envié.
Je n’ai fait qu’obéir à ma conscience.
Il n’y aura pas de retour au clanisme.
Il n’y aura pas le moindre égard à toute tendance corruptrice avérée.
Il n’y aura pas de retour à la magouille.
Il n’y aura pas de contrats exorbitants et extravagants.
Votre rôle n’est pas celui d’un messie, ni celui d’un cerbère.
Le rôle ingrat je l’assumerai dans la plénitude de mes fonctions.
Votre rôle est celui d’une Vigie, d’un Sonar pour éviter les écueils de parcours à la barque martiniquaise.
La barque peut tanguer. Je l’admets volontiers.
Mais personne n’a le droit de la dérouter pour l’empêcher d’arriver à bon port, personne.
C’est le moment pour moi de reconnaitre l’implication et le professionnalisme de beaucoup d’entre vous, contrairement à ce qui est dit, pour tenir la barque à flot depuis le 18 Décembre 2015.
Je vous félicite pour l’effort collectif accompli à ce jour pour assurer la continuité du Service public, malgré les difficultés de toutes sortes rencontrées.
Je remercie tout particulièrement les services qui ont contribué à documenter le travail des élus pour la préparation des comptes administratifs, des orientations budgétaires et du budget.
Un salut particulier à toutes les équipes et singulièrement celles de la communication qui ont organisé notre rencontre d’aujourd’hui.
Permettez-moi également de remercier les membres de mon Cabinet pour le travail accompli et qu’il reste encore à réaliser.
Le Cap est fixé. Je veillerai à ce qu’il soit atteint.
C’est à cette tâche que je vous convie chacune et chacun de vous pour escorter le convoi de la réussite en bonne intelligence, en bonne compréhension.
Bonne fête à toutes et à tous
Mèsi an pil. Mèsi an chay ba péyi nou
Alfred Marie-Jeanne
Président de la Collectivité Territoriale de Martinique