C'est dans un message, qui tourne de portable en portable que l'alerte est donnée. La satisfaction du camp Marie-Jeanne est grande. Pour cause, c'est à Paris, que l'affaire du Green Parrot se sera dégonflée comme une baudruche.
Le TGI par la voix de sa présidente aura considéré qu'il y a tant d'irrégularités dans le dossier que l'affaire serait probablement jugée un jour. En cause, la construction d'une école à la Dominique. Et dit -on une affaire de famille, un Président , sa fille un architecte et un montage politique faisant partir dans le pays une rumeur, selon laquelle il y aurait dans cette construction et dans ses paiements en particulier des bizarreries.
Et patatras... de bons avocats qui connaissent leur métier et qui font que finalement à Paris le dossier semble vide. Une personne présente à Paris disait: je cite : " Au TGI de Paris, le procureur l'a annoncé à la fin de l'audience en direction des avocats des Marie-Jeanne, et de leur dire qu'ils auraient dû demander la relaxe de leurs clients. " Fin de citation.
C'est dans ce même ordre d'idée que l'affaire du Ceregmia est en train d'être déconstruite. Non pas que nous comparions les accusations, mais si aujourd'hui on observe que la justice demande le retour des enseignants de l'université, ces personnes impliquées dans une cabale politique dont les tenants et aboutissants montrent bien qu'il y a derrière ce dossier des questions de lutte pour le pouvoir, on peut imaginer que le pays Martinique passe son temps à se déconstruire, lui aussi.
Par conséquent, il n'y a rien d'étonnant que demain un camp montre à l'autre qu'il est victorieux sur l'autre. Et plus grande la fête sera la fête du MIM et plus grand sera l'impact psychologique à la fois sur les adversaires extérieurs, mais aussi sur la dissidence interne qui s'organisait déjà au MIM.
Voici donc comment on fait de la politique en MARTINIQUE à coups d'affaires et de Kankan, et au diable les vrais problèmes du pays.
Ce dimanche, il y aura du rhum à l'aéroport et dès qu'il y a du rhum, il y aura aussi du nègre qui achète à Noël et qui paye à Pâques. Ainsi va le pays MARTINIQUE.
Et patatras... de bons avocats qui connaissent leur métier et qui font que finalement à Paris le dossier semble vide. Une personne présente à Paris disait: je cite : " Au TGI de Paris, le procureur l'a annoncé à la fin de l'audience en direction des avocats des Marie-Jeanne, et de leur dire qu'ils auraient dû demander la relaxe de leurs clients. " Fin de citation.
C'est dans ce même ordre d'idée que l'affaire du Ceregmia est en train d'être déconstruite. Non pas que nous comparions les accusations, mais si aujourd'hui on observe que la justice demande le retour des enseignants de l'université, ces personnes impliquées dans une cabale politique dont les tenants et aboutissants montrent bien qu'il y a derrière ce dossier des questions de lutte pour le pouvoir, on peut imaginer que le pays Martinique passe son temps à se déconstruire, lui aussi.
Par conséquent, il n'y a rien d'étonnant que demain un camp montre à l'autre qu'il est victorieux sur l'autre. Et plus grande la fête sera la fête du MIM et plus grand sera l'impact psychologique à la fois sur les adversaires extérieurs, mais aussi sur la dissidence interne qui s'organisait déjà au MIM.
Voici donc comment on fait de la politique en MARTINIQUE à coups d'affaires et de Kankan, et au diable les vrais problèmes du pays.
Ce dimanche, il y aura du rhum à l'aéroport et dès qu'il y a du rhum, il y aura aussi du nègre qui achète à Noël et qui paye à Pâques. Ainsi va le pays MARTINIQUE.