Ces pratiques, comme leur auteur, sont d’un autre temps !
Alfred Marie-Jeanne a déclaré : « j’ai donné le Club Med à Yan Monplaisir … »
Comment peut-on tenter de faire croire qu’un Président de Région (même dans la confusion de sa pensée) puisse être en mesure d’attribuer un bien privé (Club Med) à une personne privée (Club Med) sur la base de sa simple volonté ?!
Comment peut-on dire que le Village Club Med serait en difficulté alors que c’est une des rares entreprises du secteur à fonctionner normalement avec le taux d’occupation le plus élevé de tous les hôtels de l’île ?
Comment peut-on jeter l’opprobre sur une entreprise qui fait vivre près de 400 familles, au simple motif que l’on veut atteindre son Dirigeant ?
Non Monsieur Marie-Jeanne, ces pratiques d’un autre temps ne serviront pas votre cause ! Moi, je ne m’attaquerai pas à votre personne. Je constate simplement avec les Martiniquais que vous avez fait votre temps.
La chevauchée de la chute
Votre vision et votre mode de gestion sont dépassés. Vous vous seriez grandi à agir, en sage, à l’instar de votre cadet le Président Claude Lise.
Nous constatons avec vous que : « Assez, c’est assez », vous en convenez, en indiquant que vous vous engagez à démissionner au bout d’un an ou deux... Dans ce cas, pourquoi cette candidature ? Vous avez servi, à votre manière et de votre mieux votre pays. L’heure est venue de lui faire confiance.
Les entreprises et le groupe que j’ai dirigés emploient près de 2.500 personnes et si, comme beaucoup d’entreprises y compris les plus grandes, (à l’instar de Corsair, dont le siège est en Guadeloupe, et à laquelle vous venez de faire octroyer 3 millions d’euros quand beaucoup d’entreprises martiniquaises en aurait eu besoin en ces temps de crise), nous avons traversé des moments difficiles, nous sommes actuellement en plein développement et vous le savez bien.
Comment peut-on tenter de faire croire qu’un Président de Région (même dans la confusion de sa pensée) puisse être en mesure d’attribuer un bien privé (Club Med) à une personne privée (Club Med) sur la base de sa simple volonté ?!
Comment peut-on dire que le Village Club Med serait en difficulté alors que c’est une des rares entreprises du secteur à fonctionner normalement avec le taux d’occupation le plus élevé de tous les hôtels de l’île ?
Comment peut-on jeter l’opprobre sur une entreprise qui fait vivre près de 400 familles, au simple motif que l’on veut atteindre son Dirigeant ?
Non Monsieur Marie-Jeanne, ces pratiques d’un autre temps ne serviront pas votre cause ! Moi, je ne m’attaquerai pas à votre personne. Je constate simplement avec les Martiniquais que vous avez fait votre temps.
La chevauchée de la chute
Votre vision et votre mode de gestion sont dépassés. Vous vous seriez grandi à agir, en sage, à l’instar de votre cadet le Président Claude Lise.
Nous constatons avec vous que : « Assez, c’est assez », vous en convenez, en indiquant que vous vous engagez à démissionner au bout d’un an ou deux... Dans ce cas, pourquoi cette candidature ? Vous avez servi, à votre manière et de votre mieux votre pays. L’heure est venue de lui faire confiance.
Les entreprises et le groupe que j’ai dirigés emploient près de 2.500 personnes et si, comme beaucoup d’entreprises y compris les plus grandes, (à l’instar de Corsair, dont le siège est en Guadeloupe, et à laquelle vous venez de faire octroyer 3 millions d’euros quand beaucoup d’entreprises martiniquaises en aurait eu besoin en ces temps de crise), nous avons traversé des moments difficiles, nous sommes actuellement en plein développement et vous le savez bien.
Je pense que la Martinique gagnera à un débat plus constructif sur les projets, sur la démocratie, sur la bonne utilisation des fonds publics, sur la transparence et sur la place que la Martinique doit avoir l’ambition de reconquérir. Celle qui lui revient et que je lui propose de retrouver : La première des Outremers.
Pour progresser, il faut regarder devant soi. Mais, il faut aussi savoir tirer les leçons du passé et de ses échecs. C’est pour cela qu’en faisant le bilan de votre dernière mandature je me dois d’être lucide. Sans méchanceté et sans haine, j’ai tiré les leçons de vos erreurs.Votre propre dauphin désigné n’a pas su résister au constat de vos excès, de vos errements et de votre autoritarisme excessif.
Par vos attitudes vous n’êtes déjà plus mon adversaire, mais un cavalier chevauchant vers sa propre perte, poussés sans doute par ceux qui sans vous ne sauraient exister. Il est désormais temps de tourner la page et d’inscrire notre territoire dans le champ possible d’un avenir de progrès et de réussite à la mesure de ses Légitimes ambitions.
Je suis convaincu que les Martiniquais sauront juger.
Yan MONPLAISIR – Le 14 mai 2021
Par vos attitudes vous n’êtes déjà plus mon adversaire, mais un cavalier chevauchant vers sa propre perte, poussés sans doute par ceux qui sans vous ne sauraient exister. Il est désormais temps de tourner la page et d’inscrire notre territoire dans le champ possible d’un avenir de progrès et de réussite à la mesure de ses Légitimes ambitions.
Je suis convaincu que les Martiniquais sauront juger.
Yan MONPLAISIR – Le 14 mai 2021