Voici la définition que nous avons d'un détournement de fonds : « Le détournement de fonds est l'appropriation frauduleuse de biens par une personne pour son propre intérêt auquel l'on avait fait confiance pour gérer l'argent et les fonds détenus par un autre individu ou par une organisation tierce. Les fonds peuvent être des fonds sociaux ou des fonds publics. »
Par conséquent quand dans un reportage de RFO*, Cécile Mare avec l’accord de son rédacteur en chef parle de détournement de fonds , la seule question est de savoir si Jean Crusol a détourné à son profit personnel des fonds publics. L’autre question serait de savoir si, alors que les maîtres ouvrages délégués , à savoir , le syndicat mixte du TCSP_ n’aurait pas payé son prestataire ( c'est-à-dire la SODEM) si les dispositions prises par cet organisme pour poursuivre les travaux de ce maître d’ouvrage, seraient de nature à être considérées comme un détournement de fonds.
Dans cette affaire aucune preuve de ces détournements au profit de son propre intérêt n’est démontrée comme il n’est pas démontré un détournement au profit de la SODEM ,extérieur aux intérêts du projet. Par contre, cette conférence a révélé que la SODEM n’était pas payée comme n’étaient pas payées les autres entreprises qui devaient tout mettre en œuvre pour poursuivre des travaux dont on disait que l’échéance dépassée constituerait une justification d’une demande de remboursement des fonds européens.
Par conséquent, on peut se demander pourquoi, RFO* par la voix de sa journaliste se permet une accusation telle sans preuve et sur la seule base d’un document interne du syndicat mixte du TCSP, ce dernier organisme lui-même n’ayant pas payé son prestataire, la SODEM ni sur les dépassements constatés, ni sur les prestations globales d'ingénièrie du projet de TCSP.
À en croire la démonstration de Jean Crusol sur la SODEM, cette organisation serait victime de la même chimère qui tue les entreprises de BTP, c'est-à-dire la sous-évaluation des coûts réels des travaux commandités par les collectivités et le paiement tardif de ces dernières. Un effet ciseau dévastateur.
Les explications sonores de Jean Crusol. Pour écouter, cliquez sur le bouton de démarrage.
Dans cette affaire aucune preuve de ces détournements au profit de son propre intérêt n’est démontrée comme il n’est pas démontré un détournement au profit de la SODEM ,extérieur aux intérêts du projet. Par contre, cette conférence a révélé que la SODEM n’était pas payée comme n’étaient pas payées les autres entreprises qui devaient tout mettre en œuvre pour poursuivre des travaux dont on disait que l’échéance dépassée constituerait une justification d’une demande de remboursement des fonds européens.
Par conséquent, on peut se demander pourquoi, RFO* par la voix de sa journaliste se permet une accusation telle sans preuve et sur la seule base d’un document interne du syndicat mixte du TCSP, ce dernier organisme lui-même n’ayant pas payé son prestataire, la SODEM ni sur les dépassements constatés, ni sur les prestations globales d'ingénièrie du projet de TCSP.
À en croire la démonstration de Jean Crusol sur la SODEM, cette organisation serait victime de la même chimère qui tue les entreprises de BTP, c'est-à-dire la sous-évaluation des coûts réels des travaux commandités par les collectivités et le paiement tardif de ces dernières. Un effet ciseau dévastateur.
Les explications sonores de Jean Crusol. Pour écouter, cliquez sur le bouton de démarrage.
Cela démontré, ceci n’a pas empêché à Cécile Mare de considérer que MAKACLA.COM, pour être présent avait besoin d’une carte de presse.
Nous ne nous sommes pas gênés pour lui demander avec quelle carte de presse elle était arrivée en Martinique, et de lui rappeler aussi que nous n’étions pas des fonctionnaires de l’information. En plus nous lui avons aussi dit que son statut actuel ne devait pas lui faire oublier qu’à plusieurs reprises quand elle était la journaliste "mawon" payée par les groupes békés par leur radio ICS et que les groupes indépendantistes la refusaient dans les conférences , c’est nous qui refusions qu’on ne la "foute "dehors.
Sans doute qu’elle ne se souvient plus de cette époque, mais nous ,nous avons cette fois bien compris le sens du proverbe créole qui en substance dit : Tiré chik an pié chen i ka fini pa madéw kous kouri !
Nous reviendrons plus en détail sur ce dossier et les nombreux détails éclairants de cette conférence de presse.
Sans doute qu’elle ne se souvient plus de cette époque, mais nous ,nous avons cette fois bien compris le sens du proverbe créole qui en substance dit : Tiré chik an pié chen i ka fini pa madéw kous kouri !
Nous reviendrons plus en détail sur ce dossier et les nombreux détails éclairants de cette conférence de presse.