ASSAUPAMAR: Dans l’affaire GALION 2 le pot de terre a « fêlé » le pot de fer !


Rédigé le Samedi 8 Octobre 2016 à 23:49 |
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Écrit ainsi « fêlé » a pour synonyme rendre fou. C’est bien ce qui a dû se passer au dernier étage de l’état-major ALBIOMA au regard du jugement pris par le tribunal administratif de Fort-de-FRANCE.

Imaginez, alors qu’ALBIOMA faisait illusion de 30 nouveaux postes de travail pour l’ouverture de son usine à gaz, le tribunal administratif vient de porter un coup d’arrêt sérieux au projet d’usine d’électricité à base de biomasse qui devait produire presque 40 % de la production d’électricité en Martinique. C’est une victoire attendue de l’ASSAUPAMAR mais inespérée pour le plus grand nombre.


MAKACLA et d’autres s’étaient fait le relais d’une guerre qui semblait perdue d’avance tant les protagonistes en cause semblaient disproportionnés. À droite un projet de 120 millions d’Euros, un réseau d’influence invraisemblable, Ministère, collectivité, et suffisamment d’argent pour ne pas avoir d’argent à demander aux collectivités locales.

En face une poignée d’altermondialiste tellement peu représentative que la police sans donner la matraque a sauvagement éparpillée un soir de veille de pleine lune.
On aurait pu penser que c’est dans le permis de construire que le vice de forme viendrait mais non c’est dans le permis d’exploitation que le kokomakak est né.

La réponse des juges est claire, vous pouvez construire votre usine mais il faudra qu’elle reste fermée comme pour le TCSP. Si nous parlons du TCSP, ce n’est pas par hasard. La résolution du problème d’ALBIOMA devient dès lors un dossier politique et se retrouve entre les mains du patron politique du pays MARTINIQUE. C’est donc Alfred MARIE JEANNE seul qui peut sortir ALBIOMA de ce traquenard juridique.

La majorité indépendantiste avait annoncé être contre le projet de biomasse d’ALBIOMA et en avait attribué la faute de goût environnementale au PPM. Le PPM avait tous les torts d’accepter cette chaudière qui allait cancériser les Martiniquais. Le MIM lui se retrouvant devant l’état de fait ne pouvait que donner aux camions remorques de DMSL qui transportaient le monstre écologique de l’acheminer vers sa zone de montage. Ainsi l’affaire était classé et la position d’hostile au projet devenait une posture politique.

La balle est donc revenue au centre, et le dossier tombera dans l’escarcelle du conseiller exécutif qui s’occupe du SAR.
C’est donc une victoire de premier plan pour le tout nouveau président de L’ASSAUPAMAR. On aurait pu penser que son chapeau de pêcheur était trop grand pour lui, mais en réalité ALBIOMA vient de s’apercevoir qu’Olivier BERISSON derrière ses aspects d’ours mal léché est un véritable hérisson.

Reste donc maintenant à savoir si le pot de fer est fissuré !



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